• Le conseil n°2 : Watamote ( Watashi ga Motenai no wa do Kangaetemo Omaera ga Warui! )

     

    Après avoir complètement trahit le titre de cette rubrique, je me risque à faire un retour qui, me connaissant, ne pourrait être que temporaire. Cependant ne parlons pas trop vite et commençons ce conseil dans la bonne humeur.

    La p'tite présentation :

    Bien, je suis sûre que cette courte bande annonce vous a laissé sceptique, ce que je comprends, mais laissez moi retirer tous vos a priori. 

    Tomoko Kuroki une jeune fille de quinze ans, se prépare à faire son entré au lycée. Bien qu'elle excelle avec les garçons dans les jeux de simulations, ce n'est pas vraiment le cas dans la réalité. A l'exception de Yu Naruse, elle n'avait pas vraiment d'amis au collège. Mais elle décide finalement de faire tout ce qui est en son pouvoir pour se faire des amis, et peut-être un petit ami au cour de sa première année de lycée. Cependant, Tomoko ayant constamment vécu dans les jeux, les mangas et les animes se retrouvent seule face à la dure réalité qui n'a rien à voir avec ses rêves.

    Voici donc mon résumé (qui j'espère est assez clair). Nous allons maintenant analyser un peu mieux cet anime et, qui sait, vous aurez peut-être envie de le voir ?

     

    I - Le dessin et l'animation

    Il est possible que vous ayez trouvé que le dessin laissait à désirer, ce que je comprends, il est exagéré (grands yeux, décor peu original, couleur simple) laissez-moi avant tout vous dire que le réalisateur n'est autre que Shin Onuma, également réalisateur d'Hellsing ( je ne m'y attendais pas non plus pour tout dire...). Je ne pense pas avoir grand chose à dire ici, c'est complètement différent du conseil sur Zankyou no Terror, car en l’occurrence le choix du dessin m'intrigue toujours autant. En fait je le trouve vraiment chouette et agréable, il correspond à l'univers, mais je ne sais vraiment pas quoi dire dessus et j'en suis désolée.

    Pour l'animation, je dirais que ce n'est rien d'extraordinaire, elle est simple et ne fais pas en sorte de nous donner l'impression de vivre l'histoire. Elle comprend plusieurs effets, comme par exemple, des éclairs apparaissant à l'arrière du personnage lorsque celui-ci est choqué ou blessé, et d'autres effets de ce type... pour être honnête je m'en veux un peu, mais je n'ai pas grand chose à ajouter ici puisque de toute façon ce n'est pas au niveau du dessin et de l'animation qu'on a cherché à toucher le spectateur. C'est pourquoi, et j'espère que vous me pardonnerez, je met immédiatement fin à cette partie du conseil.

     

    II - La Bande son (ou OST pour les chipoteurs)

    Ici, les choses deviennent plus intéressantes. En soit, les OST n'ont rien de spéciaux, pour ma part je n'irais pas les écouter par plaisir, en revanche dans l'anime certains représentent un élément essentiel. Il est vrai que tous ne m'ont pas marqués (j'en avais même oublié certains), mais pour ceux dont je me souviens, ils tombaient la plus part du temps dans les moment les plus pitoyables ou effroyables du protagoniste, ajoutant un côté dramatique à cette scène la faisant devenir drôle. Pour ça, je vous conseil simplement d'aller les écouter par vous même et d'imaginer quels types de scènes pourraient s'y associer. Mais pour cette partie ce n'est pas un OST qui va nous intéresser mais le générique.

    Comme vous n'avez pas les paroles, je vais devoir faire un bref topo,  dans cet opening, les paroles parlent du désir de devenir populaire ou ne serait-ce simplement d'être remarqué. Je le trouve vraiment bien, il est parfait pour cet anime et les paroles sont très bien trouvée. Personnellement il a réussi à me toucher. " Ceci est une chanson d'espoir pour ceux qui ressentent la solitude. Que peuvent-ils faire pour l'avenir, ceux qui n'ont jamais connu cette douleur" Voici donc deux phrases tirées de la chanson complète, dans celles-ci les choses ne sont pas très durs à comprendre, "ceux qui ressentent la solitude" montrent les personnes ignorés ou "impopulaires" dans les établissement scolaires, ce qui est le cas pour Tomoko, elle n'a pas d'ami et rare sont les personnes qui la remarquent. " Ceux qui n'ont jamais connu cette douleur" cette fois ci on nous parlent des cas opposés, de ceux qui sont "populaires", et qui vivent une vie agréable dans la lumière pendant que d'autres se battent pour ne serait-ce qu'un peu d'attention. "Ceci est une ère sans rêve, ouvrez les yeux ![...] Les gens populaires, reculez, vous en avez eu assez..."  Cette ère sans rêve, il s'agit de l'adolescence un âge difficile en effet, où les personnes deviennent amis en fonction de leur statut, même si tout le monde le voit, personne n'agit contre ce système et surtout pas "les populaires" qui sont ceux pouvant changer quelque chose. "Vous en avez eu assez" autrement dit, il faut laisser la place à ceux qui n'ont jamais eu la chance d'être "populaire" et leur donner le droit d'être remarqués, appréciés, admirés. " Rencontrons nous dans un futur où tout aura changé." J'aime énormément cette phrase, en effet, à ce jeune âge nous nous formons encore, mais plus tard, ceux étant "impopulaires" peuvent devenir d'importantes personnalité, ou tout simplement connaître un bonheur auquel ils n'auraient pas songé par le passé, et à l'inverse une personne "populaire" peut ne pas avoir réalisé ses rêves, rien n'est écrit, tout peut changer, on ne peut pas juger une personne sur son avenir. "Peu importe comment je le regarde, c'est de votre faute si je ne suis pas populaire." Et la conclusion de cet opening qui en montre énormément sur cet anime. Cette phrase véridique, car si les gens faisait un peu attention aux personnes moins confiantes et sociables qu'eux, peut-être qu'ils se sentiraient plus intégrés, est à la fois fausse, puisqu'en la lisant, on comprend donc que tout le problème vient des autres et que "l'impopulaire" n'a rien à redire sur soit même. Ceci est complètement faux, car l'effort doit être fait des deux côtés, d'un côté pour aider les moins avenants à s'intégrer et de l'autre pour chercher à faire connaissance et se battre contre sa timidité.

    Voilà pour l'analyse de l'opening qui j'espère n'aura pas été trop ennuyeuse ni fausse à vos yeux (vous remarquerez que je met constamment les mots "populaires" et "impopulaires" car ils me déplaisent et je les trouves inadaptés. Mais il me fallait tout de même les placer.)

     

    III - L'histoire

    Vous l'aurez donc compris Watamote raconte l'histoire d'une lycéenne "impopulaire". Dans cet anime de douze épisode nous allons la suivre et voir les différentes solutions qu'elle trouve pour se faire des amis et devenir "populaire". Bien que le sujet soit assez fragile et triste, l'anime lui n'a pas été fait sur ces mêmes tons, on ne peut s'empêcher de rire face au cas désespéré de Tomoko, elle nous fait mal au cœur, on souhaite tous qu'elle parvienne finalement à se trouver des gens de confiance, mais on ne peut se retenir d'être amusé par sa situation. Si Tomoko était seulement une jeune fille "impopulaire", l'histoire avancerait plus facilement, elle se trouverait au moins une amie et vivrait une vie heureuse. Mais elle n'est pas si simple... elle est tout d'abord très associable, si associable qu'elle est presque incapable de dire au revoir à un surveillant. Le seul moyen qu'elle trouvera pour combattre ce défaut sera de parler chaque soir avec son frère (au grand malheur de celui-ci) jusqu'à ce qu'elle se fasse un petit ami. En plus de ça, Tomoko a une manière de penser très spécial du type " Cette fille se maquille c'est véritable sal*pe... et puis elle a des gros seins cette grosse..." enfin vous voyez l'idée ? (et je n'exagère pas). Elle est aussi fan d'anime, manga et jeux vidéos, elle s'enferme donc régulièrement dans ces univers pour échapper à la dure réalité ce qui n'est certainement pas la meilleur chose à faire pour rencontrer du monde et se faire des amis (ce qui, je rappelle, est son but ultime). Et en plus, la pauvre fille se fourre toujours dans des histoires improbables, il ne lui arrive que des ennuies et elle se colle presque tout le temps la honte. Toutes ces choses forment donc les douze épisodes de Watamote qui a une suite en manga n'ayant pas été adapté en anime. Tomoko est un personnage complètement désespérant et très attachant, bien que le sujet de Watamote soit sensible, on ne peut que rire devant cet anime. Je ne sais pas quoi préciser de plus et je vous laisserais plutôt regarder les épisodes par vous mêmes.

     

    Un p'tit topo en guise de conclusion

    Quand j'ai commencé Watamote je ne m'attendais pas du tout à ça, j'avais trouver l'opening par hasard et je m'attendais à tomber sur un anime sombre et plein d'action, au final j'ai été bien mieux servi que ce que je pensais. Watamote est pour moi l'un des deux meilleurs animes de type comédie que je n'ai jamais vu ( le deuxième fera peut-être l'objet d'un conseil, mais j'hésite encore tant il sera compliqué à analyser...) après l'avoir vu j'ai également regardé Yamato Nadeshiko Shichi Henge, mais il ne m'a pas autant plût. C'est pourquoi je vous conseil de regarder Watamote, et si vous n'aimez pas les anime humoristique, essayez quand même car il est très bien fait et mérite d'être vu (d'autant plus que pour seulement douze épisodes, ce n'est pas une grande perte de temps !).

    Je vous remercie d'avoir lu et vous souhaite à tous une excellente journée !


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  • Le conseil n°1 : Zankyou no Terror

     

    Bonjour à vous chers lecteur. Je vais donc parler aujourd’hui d’un anime, qui m’a époustouflé. Mais n’en disons pas trop, voyez vous-même par la suite.

    La p’tite présentation :

    Bon, c’est vrai elle est en japonais donc vous n’avez pas vraiment compris. Mais je suis sur que vous avez réussi à tirer deux trois informations.

    Voici mon résumé :

    « Par un été étouffant, me sont apparu un sourire chaleureux comme le soleil, et des yeux froids comme la glace. ».Risa Mishima est une jeune lycéenne martyrisée par ses compagnons du lycée. Alors qu’elle se faisait harcelée, deux personnes sont apparues devant elle, Arate Kokonoe, et Touji Hisami. Il se trouve que ces deux garçons sont en réalité des terroristes respectivement appelés Nine et Twelve, à l’origine d’une explosion ayant eu lieu au centre de Tokyo. Cette rencontre changera sa vie…

    Bien, dans la crainte d’en dire un peu trop, je remarque que mon résumé n’en dit pas assez. Mais qu’importe, si cet anime vous intéresse vous irez les voir dès que vous aurez fini de lire ceci (ou avant).

    Quand j’ai vu Zankyou no Terror, je venais juste de finir un anime qui m’avait énormément plut. Ma sœur me rabachait qu’il fallait que je le vois parce que « c’est trop bien » et puis « Ca me perturbe de ne pouvoir en parler à personne ! » alors je l’ai regardé. Et vous savez quoi ? Bah j’ai adoré.

     

    I-                   Le dessin et l’animation

    Avant de commencer Zankyou no Terror, on m’a montré des passages de cet anime et des images. Avant même d’avoir regardé, j’ai vu que la qualité du dessin et de l’animation était magnifique. Chaque personnage a son propre regard, ça pourrait sembler logique et normal pour certain, mais pas tellement. Certains anime (et manga mais là, je parle des animes), sont constitués de personnages ayant tous (ou presque) le même regard, pas dans Terror in Resonance, le regard est probablement l’une des caractéristiques principales de  chacun des protagonistes. Il est expressif, et représente parfaitement la mentalité de son personnage, et c’est ce qui fait une partie du charme de Zankyou no Terror, un regard affirmant le caractère. Evidemment, les character design sont excellents, pas seulement pour les yeux, mais aussi les détails qui rendent réelle le personnage, la démarche, le style vestimentaire, la carrure… j’ai pris le regard comme exemple, mais vu la qualité du dessin, on pouvait en prendre beaucoup d’autre.

    L’animation, elle, est très fluide et détaillée. Parlons de Terror in Resonance comme d’un film, et supposons qu’il s’agisse d’acteurs filmés. Nous, les spectateurs, sommes placé au point de vue de la caméra, donc là où la caméra est orientée, c’est là où notre regard est posé. Dans Zankyou no Terror, le cadrage de la caméra fait qu’on a réellement l’impression d’être dans ce film, d’être face aux personnages. Je vais prendre un exemple tout bête (en disant le moins de choses possibles sur l’anime, donc il n’y a pas de spoil), une scène que j’adore –parmi bien d’autres scènes- dans laquelle Risa cours dans des escaliers. En disant ça, le passage peut paraître simple, la caméra à juste été posé sur un angle et hop ! De ce point de vu on voit la petite Risa courir et on remballe. Ben non, c’est plus compliqué que ça. A ce moment, où Mishima court, tout est fait pour que le spectateur ai l’impression de vivre cet instant. La caméra suit ses mouvements elle ne se contente pas de « filmer », on se sent donc concerné dans l’histoire, et ce lien posé entre la personne qui regarde et le personnage, rend ce passage haletant et stressant. Pour ne pas en dire plus, je m’arrête là pour mon exemple, mais il y a beaucoup d’autres passages où l’animation joue un rôle important pour les sensations données à l’observateur, cependant c’est probablement celui-ci qui en disait le moins sur le déroulement de Zankyou no Terror.

     

    II-                La Bande son (ou OST pour les chipoteurs)

    Une deuxième chose m’a marqué quand on m’a montrée des passages de Zankyou no Terror, c’est les OST. J’ai rarement entendu des musiques aussi bonnes (bon sans compté Madoka Magica, Durarara…) et bien placée. Je pense qu’on peut apprécié ces mélodies sans même avoir regardé Terror in Resonance, bien que certaines soient spéciales. Mais bon, moi, je vais vous parler des OST dans l’anime (sinon à quoi bon conseiller).

    Personnellement la première fois que j’ai entendu cet opening, j’ai pas accroché, c’était au fur et à mesure de l’entendre que je l’ai apprécié. Mais réellement, cet opening est extra. Tous les éléments principaux sont montrés dedans, la manière dont ce générique présente l’anime est géniale. Pour les paroles c’est autres chose… disons qu’elles en disent beaucoup sur l’histoire, même pire elles vous gâchent tout. Avant j’écoutais les paroles, et là pour l’analyse j’ai décidé de me les traduire et mon dieu, si vous n’avez pas encore vu Zankyou no Terror je vous déconseille de lire les traductions. Mais au moins avec ça on ne peut pas dire qu’on se soit foutu de nous en ayant mis des paroles hors sujets ! Là l’opening présente vraiment bien l’anime.

    Bon passons l’opening (qui ne ferait qu’en dire trop sur l’histoire). J’hésitais entre trois OST à vous présenter, « Is », que l’on entend pour la première fois dans l’un des plus beaux passage de l’anime, « Von », exactement pareil que pour « Is » et enfin « Walt ». Le problème c’est que les deux premières en diront trop sur l’histoire et la troisième pas assez. Mais si je veux fonctionner de manière pertinente, il vaut mieux que je vous  présente celle-ci :

    Pour réellement comprendre cette musique, il faut avoir vu Zankyou no Terror. Je ne peux quasiment pas en dire sur cette chanson, mais c’est probablement celle qui représente le mieux l’histoire. J’avais vraiment envie de la présenter, de l’analyser, mais pour ceux qui n’ont pas vu l’anime c’est pas possible. Cette mélodie est interprétée pour la première fois dans l’épisode 9, et elle est tout à fait en lien avec ce qu’il se passe dans cet épisode. Malgré son apparition tardive dans l’histoire (oui car Terror in Resonance est composé de seulement 11 épisodes), on comprend un peu plus tard qu’elle était déjà présente avant même qu’on ne l’ai entendu. Je peux pas expliquer cette chanson, je peux pas non plus parler de son lien avec la marque de Twelve et Nine, car cette explication apparaît trop tardivement dans l’histoire pour que je puisse l’énoncer. Tout ce que je peux dire, c’est qu’elle est vraiment superbe, et qu’elle a tout à fait sa place dans Zankyou no Terror, on a pas l’impression qu’on nous a mis une musique au hasard pour faire de l’ambiance, cet OST a une histoire dans l’anime, elle a un lien et elle est tout simplement une forme du thème de Terror in Resonance.

    Je suis réellement désolée de rester très flou sur le sujet, mais comme j’ai déjà dit ce serait injuste d’en dire plus pour ceux qui n’ont pas vu cet anime.

     

    III-             L’histoire

    C'est vrai que l’histoire en elle-même manque d’originalité, ( les terroristes « surdoués », la rencontre avec un personnage qui a la vie dur, le flic super fort qui avait quitté son boulot et qui revient pour l’affaire…) c’est du vu et du revu. Mais même si sur la forme cette anime n’a rien d’exceptionnel, c’est sur le fond qu’on voit toutes ses principales qualités. Pour cet anime, on a pas cherché à faire dans l’incroyable et l’original, le but c’était de montrer une facette de la société actuelle à travers les yeux de trois personnages souffrant à cause de cette société, et c’est parfaitement interprété. On est pas dans le pathétique avec les trois pauvres petits à qui il n’arrive que des malheurs, et que personne ne veut aider alors ils doivent se débrouiller… pas du tout. C’est juste trois personnages qui voient clairement le monde d’aujourd’hui, comment il a changé, comment il s’est amélioré mais surtout détérioré. Au départ on a du mal à cerner Twelve et Nine, on ne sait pas si c’est les gentils ou les méchants, et de toute façon on ne pourra jamais vraiment le savoir, car dans cette histoire, personne n’est tout blanc ni tout noir, c’est une réalité, tout le monde a ses côtés sombres, même eux (bon, après je ne m’attarde pas trop dessus sinon je vais trop en dire). C’est la détérioration d’une société qui perverti les Hommes, celle-ci se fragilise alors, et entraîne des crimes, des guerres, des actes terroristes… c’est le cas pour nos deux personnages principaux. Bien que le mot « perverti » soit un peu excessif, c’est en effet le monde dans lequel ils vivent qui a fait d’eux des terroristes. Quand ils rencontrent Risa pour la première fois, on comprend vite ce qui arrivera. Mais finalement, c’est pas le plus important, le plus important c’est ce que dégage leur rencontre, la rencontre entre une jeune fille malheureuse qui accepte de subir les défauts de la société, de son monde et de sa vie avec deux garçons qui ont acceptés autrefois les erreurs et monstruosité de l’Etat puis qui ont décidé de se révolter.

    Parallèlement on suit également une équipe policière, principalement un officier, Shibasaki. Je voulais juste l’énoncer dans la présentation de l’anime, car il est vraiment important et intéressant et que malgré la banalité du personnage (typiquement le genre à plaire à tout le monde), c’est, pour moi, le meilleur personnage de l’histoire. J’aimerais parler encore de Zankyou no Terror mais je vais trop m’étaler et je préfère vous laisser découvrir.

     

    Un p’tit topo en guise de conclusion

    A partir d’un sujet très simple et déjà vu, est né un vrai petit bijou. Si vous aimez les histoires policières (type Death Note) je le conseil vivement. C’est un anime très récent ( première diffusion en 2014), et franchement ça me rassure de voir qu’encore aujourd’hui on a des histoires construites, réfléchis et développés qui sont faites. Ca change de tous les mangas et animes commerciaux qu’on a l’habitude de voir et de lire. Il faut en effet une certaine maturité pour le voir, c’est pas un enfant de 10 ans qui cernera facilement le sujet, moi-même je suis très jeune et pour être honnête je devrais le revoir plus tard pour mieux analyser l’histoire.

    Je ne donnerais pas de notes dans mes conseils, car c’est trop compliqué, mais je peux au moins dire que dans un top 10 ne comportant aucun anime commercial (Bleach, Fairy Tail, One Piece, Black Butler…) il serait deuxième ! (il faut savoir que mon premier n’a rien d’extraordinaire mais que c’est un gros coup de cœur, il fera peut être l’objet d’un autre conseil du mois…).

    PS :   Juste au cas ou les fan déchaîné m’agresse pour le coup des mangas et anime commerciaux, je suis une grande fan de One Piece, j’adore Black Butler, Bleach ça à l’air cool et ok j’avoue j’aime pas Fairy Tail. Tout ça pour dire que quand je dis commercial c’est pas une critique c’est juste un fait.

     

    Bonne journée !


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